Tester c’est douter ?

Tester c’est douter ?
Épisode d'IFTTD sur les tests

L’histoire de Knight Capital est bien connue dans le monde de la finance. Entreprise spécialisée dans le trading haute fréquence, elle va perdre 460 millions de dollars après avoir déployé un bug en production.

Après la publication d’une nouvelle version de leur logiciel de trading, et en moins de 45 minutes, plus de 4 millions de trades vont être ordonnés. L’entreprise perd 75 % de sa valeur en l’espace d’une journée et sera rachetée peu de temps après.

Cet exemple nous montre la criticité des opérations confiées à des logiciels. Et avec l’accélération de l’informatisation des entreprises, la quantité de logiciels qui se retrouvent en charge de système critique ne cessent d’augmenter.


J’ai participé à un épisode du podcast IFTTD dédié à la question de la fiabilisation du logiciel via les tests. Cela a été l’occasion de partager notre expérience au sein de LGO.

Plus particulièrement sur notre utilisation des différents types de tests pour valider le bon fonctionnement de la plateforme tout au long de notre cycle de production. Sur la répartition de ces tests. Et la mise en place d’une politique de tests au sein d’une équipe de développement. Enfin, il m’a paru utile de rappeler que le test unitaire ne signifie pas la disparition du rôle de QA. Mais, bien au contraire, il s’agit de mieux faire collaborer ces équipes.

Nous avons notamment abordé, en vrac :

  • Qu’est-ce que la double boucle en TDD ?
  • Quelle est la différence entre le Test Unitaire et le TDD ?
  • Pourquoi chercher à avoir une couverture de test de 100 % n’est pas forcément souhaitable ?
  • Pourquoi le BDD ne doit-il pas être réduit à Gerkhins et Cucumber ?
  • Est-ce que le temps passé à écrire un test doit être facturé au client ?

Vous pouvez retrouver l’ensemble des plateformes sur lesquelles cette interview à été publiée sur le site du podcast IFTTD.


Merci à Olga Cojocariu qui m'a aidée dans l'écriture de cet article.

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